Ils se promenent, enlaces, au soleil Et s'ils s'aiment, c'est peut-etre dans la peine Mais pourquoi ca nous gene De voir des femmes deux par deux Ou
Ooh, tu vas partir Je sais, tu oublieras Tu oublieras Tout ces jours, tout ce temps Qui n'appartenait qu'a nous Ce reveil, un matin Tes bras autour de
D'abord, j'ai eu peur, Et puis je me suis habituee Comment pourrais-je vivre encore sans toi a mes cotes ? Depuis j'ai passe tant de nuits a me dire
J'en ai assez de voir Toutes les meme images le soir D'un monde que l'on dechire en deux Qui trone sous le feux C'est trop, trop , trop Parainer la
Oh , tu vas partir je sais ,tu m'oubliera Tu oubliera tous ce jour tous ce temps qui n'appartenai qu'a nous ce reveille un matin tes bras autour
Rien ne pourra effacer ton empreinte sur ma peau ni meme le passe rien ne pourra separer ton prenom de mes mots c'est l'eternite bien plus que l'or