Lirieke: Thiéfaine. Eurydice Nonante Sept.
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De l'autre cote du passage obscur
Tu vois parfois d'etranges lueurs
Des tags lumineux qui courent sur les murs
Des neons-graffiti sans couleurs
Eurydice
De l'autre cote du passage obscur
T'entends parfois d'etranges rumeurs
Des voix fissurees qui revent et murmurent
Mais qui jamais ne rient ni ne pleurent
Eurydice
La vie est un songe ou ton pauvre Orphee
Se traine comme un mendiant sans voix
Comme un ange perdu, un idiot qui sait
Qu'il a vu l'invisible en toi
De l'autre cote du passage obscur
T'etreins parfois d'etranges moiteurs
Des fluorescences de tendresse-azur
D'eclaboussures de cigue en fleurs
Eurydice
De l'autre cote du passage obscur
Tu vois parfois d'etranges lueurs
Des tags lumineux qui courent sur les murs
Des neons-graffiti sans couleurs
Eurydice
De l'autre cote du passage obscur
T'entends parfois d'etranges rumeurs
Des voix fissurees qui revent et murmurent
Mais qui jamais ne rient ni ne pleurent
Eurydice
La vie est un songe ou ton pauvre Orphee
Se traine comme un mendiant sans voix
Comme un ange perdu, un idiot qui sait
Qu'il a vu l'invisible en toi
De l'autre cote du passage obscur
T'etreins parfois d'etranges moiteurs
Des fluorescences de tendresse-azur
D'eclaboussures de cigue en fleurs
Eurydice
Thiéfaine
Thiéfaine
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