Lirieke: The Cranes. Au Temple.
Qu'est-ce que nous avons fait?
Quelque chose est arrivA© que nous ne sommes plus libres de dA©faire. Est-ce qu'il fera toujours aussi noir, dA©sormais, mA?me le jour?
Attends, laisse-moi dire adieu A cette lA©geretA© sans tA?che qui fut la mierne. laisse-moi dire adieu A ma jeunesse. Il y a des soirs, des soirs de
Corinthe et d'Athens. Flein de ??? et d'odeurs qui ne m'appartiendront plus jamais. Des matins pleins d'espoir aussi. Alors adieu, adieu, adieu.
A?coute! . . . A?coute le bruit de leurs ailes. Elles nous entourent, Oreste. Ce sont les A?rinnyes, les dA©esses du remords.
Viens! Conduis-moi au sanctuaire d'Apollon; nous y passerons la nuit, A l'abri des hommes et des A?rinnyes.
Quelque chose est arrivA© que nous ne sommes plus libres de dA©faire. Est-ce qu'il fera toujours aussi noir, dA©sormais, mA?me le jour?
Attends, laisse-moi dire adieu A cette lA©geretA© sans tA?che qui fut la mierne. laisse-moi dire adieu A ma jeunesse. Il y a des soirs, des soirs de
Corinthe et d'Athens. Flein de ??? et d'odeurs qui ne m'appartiendront plus jamais. Des matins pleins d'espoir aussi. Alors adieu, adieu, adieu.
A?coute! . . . A?coute le bruit de leurs ailes. Elles nous entourent, Oreste. Ce sont les A?rinnyes, les dA©esses du remords.
Viens! Conduis-moi au sanctuaire d'Apollon; nous y passerons la nuit, A l'abri des hommes et des A?rinnyes.
The Cranes
Gewilde versoeke