Lirieke: Alan Stivell. La-bas, La-bas.
La-bas, la-bas, la-bas, la-bas,
Mais tu etais partie deja,
Courir trop tard, courir la-bas,
Train et metro, loin l'hopital,
Trop tard, trop tard, trop tard, trop tard,
Tu n'etais deja plus ici-bas.
Dinerc'h, dizaon, dizanken,
Ar boan, an naon n'eus ken
Pa n'oa ket pal ebet
Mat oa mont neu'en.
Encore plus loin que le soir
Ou ne dort plus le soleil
Ou pas un oiseau sommeille,
Pas avant montrer la voie,
Les intersignes et les voix,
Et brises miroirs.
An de', an de', an de', an de',
Hag oc'h aet diouzh touell hor bed-ni
Ene, ene, ene, ene,
O nijal dija pell diouzhomp-ni,
Ene, ene, ene, ene,
Hag oc'h aet diouzh touell hor bed-ni.
Tu allais jusqu'en Mexique,
Tu pensais le voir partout
Relisant tous ses lexiques,
Tu ne vivais plus que pour nous
Pour nos vies, n'aies plus de doutes,
Tu as trouve la route.
Bevet ho peus nemet evidomp-ni
Beteg puns dizour ha dic'hoanag ar gozhni.
Plus faim, plus mal, plus jamais,
La dans le calme et la paix
Dans le calme et la paix.
La-bas, la-bas, la-bas, la-bas,
Mais tu etais partie deja,
Mais si tu as trouve la route
Vers ceux que tu aimais tant
Pour nos vies, n'aies donc plus de doutes,
Pense un peu a toi maintenant.
Mort moins vraie que la memoire
Lumiere qui pleure dans le noir,
Ton amour de mere demeure
Pour tes fils jamais ne meure
Ton amour de mere demeure
Jamais ne meure.
An de', an de', an de', an de',
Hag oc'h aet diouzh touell hor bed-ni
Ene, ene, ene, ene,
O nijal dija pell diouzhomp-ni,
An den, an den, an den, an den,
Hag oc'h bet dre-'man memestra
Ar vamm, ar vamm, ar vamm, ar vamm
'Chom em c'halon diastal.
Mais tu etais partie deja,
Courir trop tard, courir la-bas,
Train et metro, loin l'hopital,
Trop tard, trop tard, trop tard, trop tard,
Tu n'etais deja plus ici-bas.
Dinerc'h, dizaon, dizanken,
Ar boan, an naon n'eus ken
Pa n'oa ket pal ebet
Mat oa mont neu'en.
Encore plus loin que le soir
Ou ne dort plus le soleil
Ou pas un oiseau sommeille,
Pas avant montrer la voie,
Les intersignes et les voix,
Et brises miroirs.
An de', an de', an de', an de',
Hag oc'h aet diouzh touell hor bed-ni
Ene, ene, ene, ene,
O nijal dija pell diouzhomp-ni,
Ene, ene, ene, ene,
Hag oc'h aet diouzh touell hor bed-ni.
Tu allais jusqu'en Mexique,
Tu pensais le voir partout
Relisant tous ses lexiques,
Tu ne vivais plus que pour nous
Pour nos vies, n'aies plus de doutes,
Tu as trouve la route.
Bevet ho peus nemet evidomp-ni
Beteg puns dizour ha dic'hoanag ar gozhni.
Plus faim, plus mal, plus jamais,
La dans le calme et la paix
Dans le calme et la paix.
La-bas, la-bas, la-bas, la-bas,
Mais tu etais partie deja,
Mais si tu as trouve la route
Vers ceux que tu aimais tant
Pour nos vies, n'aies donc plus de doutes,
Pense un peu a toi maintenant.
Mort moins vraie que la memoire
Lumiere qui pleure dans le noir,
Ton amour de mere demeure
Pour tes fils jamais ne meure
Ton amour de mere demeure
Jamais ne meure.
An de', an de', an de', an de',
Hag oc'h aet diouzh touell hor bed-ni
Ene, ene, ene, ene,
O nijal dija pell diouzhomp-ni,
An den, an den, an den, an den,
Hag oc'h bet dre-'man memestra
Ar vamm, ar vamm, ar vamm, ar vamm
'Chom em c'halon diastal.
Stivell, Alan