Lirieke: Stephan Eicher. Non Ci Badar, Guarda E Passa. Rivière.
J'attends a la riviere
je surveille le chemin,
je n'ai rien d'autre faire
mais rien ne vient.
J'attends le nez en l'air
je n'me tords pas les mains,
on gagne ou bien l'on perd
mais c'est plutot rien.
Je m'en irai tout a l'heure
je reviendrai demain
on n'sort pas du desert
on tourne sans fin.
Le jour tombe et l'enfer
n'est pas aussi lontain
mais je n'suis pas amer
toujours on en revient.
Et le blessures se ferment
et attendre n'est rien
et les larmes sont vaines
et c'est meme refrain.
Je garde les bras ouvertes
le vent passe entre mes mains
c'est l'heure de la priere
mais rien ne vient
on finit par s'y faire
avec un peu d'entrain
on sait bien qu'nos miseres
ne prennent jamais fin.
(Merci a Francesca pour cettes paroles)
Gewilde versoeke