Lirieke: Serge Reggiani. Il Ne Faudra Jamais.
Il ne faudra jamais
Dire tout ce qu'on a vecu
Ca ne regarde pas
Les gens du temps qui passent
Ni mes histoires de c?ur
Ni mes amours decues
N'avantageront
Mon reflet dans la glace
Je suis un enfant
Qui marche a pas comptes
Entre des HLM
Et des fleurs en plastique
Entre trois cimetieres
Et quatre verites
En plein c?ur d'un present
Qui va fermer boutique
Il ne faudra jamais dire
Ce qu'on a compris
On l'a fait par hasard
Et sans aucun merite
Quand j'ai vide ma poche
Il me reste le prix
De quatre roses rouges
Et d'un cornet de frites
Il ne faudra jamais
Reveler nos secrets
Ca ne regarde pas
Les gens qui nous regardent
Ils viennent d'un pays
Ou plus rien n'est sacre
Ils crevent entre copains
Tant pis, que Dieu les garde
Il ne faudra jamais dire
Qu'on etait heureux
Qu'on avait du talent
Qu'on etait magnifiques
Que d'un exploit d'huissier
On savait faire du feu
Et que du mal d'amour
On faisait des musiques
Il ne faudra jamais dire
Qu'on etait idiots
Qu'on ne savait rien
Mais qu'on vivait quand meme
Quand on a deguste
Sa jeunesse au boulot
Avec la mort qui vient
On peut faire un poeme
Dire tout ce qu'on a vecu
Ca ne regarde pas
Les gens du temps qui passent
Ni mes histoires de c?ur
Ni mes amours decues
N'avantageront
Mon reflet dans la glace
Je suis un enfant
Qui marche a pas comptes
Entre des HLM
Et des fleurs en plastique
Entre trois cimetieres
Et quatre verites
En plein c?ur d'un present
Qui va fermer boutique
Il ne faudra jamais dire
Ce qu'on a compris
On l'a fait par hasard
Et sans aucun merite
Quand j'ai vide ma poche
Il me reste le prix
De quatre roses rouges
Et d'un cornet de frites
Il ne faudra jamais
Reveler nos secrets
Ca ne regarde pas
Les gens qui nous regardent
Ils viennent d'un pays
Ou plus rien n'est sacre
Ils crevent entre copains
Tant pis, que Dieu les garde
Il ne faudra jamais dire
Qu'on etait heureux
Qu'on avait du talent
Qu'on etait magnifiques
Que d'un exploit d'huissier
On savait faire du feu
Et que du mal d'amour
On faisait des musiques
Il ne faudra jamais dire
Qu'on etait idiots
Qu'on ne savait rien
Mais qu'on vivait quand meme
Quand on a deguste
Sa jeunesse au boulot
Avec la mort qui vient
On peut faire un poeme
Serge Reggiani
Gewilde versoeke