Lirieke: Michel Sardou. Du Plaisir. Les Hommes Du Vent.
Les hommes se cachent derriere les banques
Derriere les baches, des saltimbanques
Meme devant la mort, ils tremblent encore, pourquoi ?
Les nuits glacees de solitude, les coeurs brises de lassitude
C'est un ouragan qui nous vient du sud, en bas
Moi je suis ne dans un manteau de vent
Je suis des cimes comme les oiseaux migrants
Il y a longtemps que le vent me protege du feu des sortileges
Je viens d'Espagne, d'Italie ou d'Orient
Le vent me parle comme la voix d'un parent
Je vais tout droit voir l'horizon devant, voir l'horizon devant
Des hommes qui veulent tous les pouvoirs
Qui cherchent la lumiere et la gloire
Qui aiment se faire voir et tout avoir, la loi
Un souffle noir brulant la plaine
Un grain du soir brisant les chaines
Comme un cyclone qu'on n'attendait pas, j'aime ca
Moi je suis ne dans un manteau de vent
Je suis des cimes comme les oiseaux migrants
Il y a longtemps que le vent me protege du feu des sortileges
Je viens d'Espagne, d'Italie ou d'Orient
Le vent me parle comme la voix d'un parent
Je vais tout droit voir l'horizon devant, voir l'horizon devant
Sardou, Michel