Lirieke: Henri Salvador. La Jalousie.
Un jour, dans la maison de notre amour
Une voyageuse est entree
Nous ne l'avions pas invitee
Je ne connaissais que son nom
La jalousie
Alors, dans la maison de notre amour
Son compagnon s'est faufile
Il avait le regard inquiet
Je me souviens qu'il s'appelait
Le doute
Apres la trahison n'a pas tarde
Et l'amertume et les regrets
Entre nous le mur grandissait
Il nous eloignait l'un de l'autre
Alors dans la maison de notre amour
Soudain la porte s'est ouverte
Pour laisser passer toutes les autres
Tous ceux qui font mourir les fleurs
Et le mur est monte si haut
Que la maison de notre amour
S'est ecroulee sur le bonheur
Sur nous deux coeurs inguerissables
Et les visiteurs sont partis
Pour saccager d'autres maisons
En nous laissant la nostalgie
En nous laissant cette chanson
Une voyageuse est entree
Nous ne l'avions pas invitee
Je ne connaissais que son nom
La jalousie
Alors, dans la maison de notre amour
Son compagnon s'est faufile
Il avait le regard inquiet
Je me souviens qu'il s'appelait
Le doute
Apres la trahison n'a pas tarde
Et l'amertume et les regrets
Entre nous le mur grandissait
Il nous eloignait l'un de l'autre
Alors dans la maison de notre amour
Soudain la porte s'est ouverte
Pour laisser passer toutes les autres
Tous ceux qui font mourir les fleurs
Et le mur est monte si haut
Que la maison de notre amour
S'est ecroulee sur le bonheur
Sur nous deux coeurs inguerissables
Et les visiteurs sont partis
Pour saccager d'autres maisons
En nous laissant la nostalgie
En nous laissant cette chanson
Salvador, Henri
Salvador, Henri
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