Lirieke: Edith Piaf. Otras Canciones. Le Métro De Paris.
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Des escaliers mecaniques,
Portillons automatiques,
Couloirs de correspondance,
Heures de pointe et d'affluence,
Portieres en mosaique,
Labyrinthe fantastique
Et toujours, en courant,
Des gens qui vont et viennent,
Et encore, en courant,
Les memes gens qui reviennent
Et le metro qui flanait sous Paris,
Doucement s'elance et puis s'envole,
S'envole sur les toits de Paris.
Des midinettes qui trottinent,
Des ouvriers qui cheminent,
Des dactylos qui se pressent,
Des militaires qui s'empressent,
Des employes qui pietinent,
Des amoureux qui butinent
Et toujours, en courant,
Des gens qui vont et qui viennent,
Et encore, en courant,
Le memes gens qui reviennent
Et le metro qui flanait sous Paris,
Doucement s'elance et puis s'envole,
S'envole sur les toits de Paris.
Des escaliers mecaniques,
Portillons automatiques,
Des bruits de pas qui resonnent
Dans les couloirs monotones,
Basilique fantastique
Dans le faubourg electrique,
Le metro de Paris,
Gigantesque ver luisant
Sur les toits de Paris,
A tisse des fils d'argent
Et, doucement,
Il s'etire sur les toits de Paris
Et glisse, glisse, glisse, glisse, glisse...
Des escaliers mecaniques,
Portillons automatiques,
Couloirs de correspondance,
Heures de pointe et d'affluence,
Portieres en mosaique,
Labyrinthe fantastique
Et toujours, en courant,
Des gens qui vont et viennent,
Et encore, en courant,
Les memes gens qui reviennent
Et le metro qui flanait sous Paris,
Doucement s'elance et puis s'envole,
S'envole sur les toits de Paris.
Des midinettes qui trottinent,
Des ouvriers qui cheminent,
Des dactylos qui se pressent,
Des militaires qui s'empressent,
Des employes qui pietinent,
Des amoureux qui butinent
Et toujours, en courant,
Des gens qui vont et qui viennent,
Et encore, en courant,
Le memes gens qui reviennent
Et le metro qui flanait sous Paris,
Doucement s'elance et puis s'envole,
S'envole sur les toits de Paris.
Des escaliers mecaniques,
Portillons automatiques,
Des bruits de pas qui resonnent
Dans les couloirs monotones,
Basilique fantastique
Dans le faubourg electrique,
Le metro de Paris,
Gigantesque ver luisant
Sur les toits de Paris,
A tisse des fils d'argent
Et, doucement,
Il s'etire sur les toits de Paris
Et glisse, glisse, glisse, glisse, glisse...
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