Lirieke: Nicola Ciccone. Les Mots Qu'on A Peur D'entendre.
Les mots qu'on a peur d'entendre
Les mots qui tuent qui blessent
Violence, deviance et maladie
Les mots qui laissent dans la detresse.
Un jour de mars, assis pres d'elle
Dans une clinique du centre-ville
Un medecin regardant par terre
Lui prononca le mot cancer.
Ce mecreant, cette charogne Qui tue lentement et sans remords
Voleur de reves, tricheur de somme
Il vous volera jusqu'a la mort.
J'etais de glace et sans praole
Comme un boxeur tombe au sol
Mais, elle forte et prete a se battre
Brillait d'espoir, brillait encore.
Les mots qu'on a peur d'entendre.
Aussi bizarre que ca puisse paraitre
Sont parfois de nouveaux debuts
Des mots qui peuvent changer nos vies.
Alors la, dresse comme un chien de garde
J'ai fait le serment devant moi-meme
J'ai voulu defier l'impossible
Comme un enfant fonde dans le vide.
Je vais faire la guerre a la mort
Je vais faire l'amour a la vie
il y a des combats qu'on ne peut vaincre
mais le combat en vaut le prix.
Car chaque jour qu'on arrache au mal
Car chaque seconde qu'on embellit
On se rend compte qu'on a le choix
On se rend compte qu'on est en vie.
les mots qu.on a peur d'entendre
les mots qui tuent, les mots qui blessent
Ne sont que de mots, non pas des laisses
La vie, c'est nous qui l'ecrvivons.
(Merci a Claude Josee pour cettes paroles)
Les mots qui tuent qui blessent
Violence, deviance et maladie
Les mots qui laissent dans la detresse.
Un jour de mars, assis pres d'elle
Dans une clinique du centre-ville
Un medecin regardant par terre
Lui prononca le mot cancer.
Ce mecreant, cette charogne Qui tue lentement et sans remords
Voleur de reves, tricheur de somme
Il vous volera jusqu'a la mort.
J'etais de glace et sans praole
Comme un boxeur tombe au sol
Mais, elle forte et prete a se battre
Brillait d'espoir, brillait encore.
Les mots qu'on a peur d'entendre.
Aussi bizarre que ca puisse paraitre
Sont parfois de nouveaux debuts
Des mots qui peuvent changer nos vies.
Alors la, dresse comme un chien de garde
J'ai fait le serment devant moi-meme
J'ai voulu defier l'impossible
Comme un enfant fonde dans le vide.
Je vais faire la guerre a la mort
Je vais faire l'amour a la vie
il y a des combats qu'on ne peut vaincre
mais le combat en vaut le prix.
Car chaque jour qu'on arrache au mal
Car chaque seconde qu'on embellit
On se rend compte qu'on a le choix
On se rend compte qu'on est en vie.
les mots qu.on a peur d'entendre
les mots qui tuent, les mots qui blessent
Ne sont que de mots, non pas des laisses
La vie, c'est nous qui l'ecrvivons.
(Merci a Claude Josee pour cettes paroles)
Nicola Ciccone
Nicola Ciccone
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