Lirieke: Eddy Mitchell. Ma Nouvelle-orléans.
"Violent, angoissant
Cruel, inhumain
Portant pourtant
Un joli prenom feminin
L'ouragan Katerina
Noie mon Jambalaya
Le Bayou
Sera toujours blue
Ma Nouvelle Orleans,
Berceau du blues enfant
Dieu semble t'avoir blesse
Oublie et dedaigne
Je parle du Dieu-Argent
Du dollar fremissant
Des promesses du Texan
Menteur mais pourtant President
L' quartier Francais
N'est plus ce qu'il etait
Les plantations
En Louisiane
Sentent moins bons
Mais l'creole n'oublie pas
De feter le Mardi Gras
Cajun
Ca s'ra mieux demain
Ma Nouvelle Orleans,
Des vautours viennent souvent
Touristes, voyeurs en manque
De sensations deplacees
Il viennent te voir pleurer
Regretter le passe
Ils payent a la demande
La belle histoire du Dixieland
Ma Nouvelle Orleans,
Berceau du blues enfant
Dieu semble t'avoir blesse,
Oublie et dedaigne
Je parle du Dieu-Argent
Du dollar trebuchant
Des promesses du Texan
Menteur mais pourtant President
Ma Nouvelle Orleans".
Cruel, inhumain
Portant pourtant
Un joli prenom feminin
L'ouragan Katerina
Noie mon Jambalaya
Le Bayou
Sera toujours blue
Ma Nouvelle Orleans,
Berceau du blues enfant
Dieu semble t'avoir blesse
Oublie et dedaigne
Je parle du Dieu-Argent
Du dollar fremissant
Des promesses du Texan
Menteur mais pourtant President
L' quartier Francais
N'est plus ce qu'il etait
Les plantations
En Louisiane
Sentent moins bons
Mais l'creole n'oublie pas
De feter le Mardi Gras
Cajun
Ca s'ra mieux demain
Ma Nouvelle Orleans,
Des vautours viennent souvent
Touristes, voyeurs en manque
De sensations deplacees
Il viennent te voir pleurer
Regretter le passe
Ils payent a la demande
La belle histoire du Dixieland
Ma Nouvelle Orleans,
Berceau du blues enfant
Dieu semble t'avoir blesse,
Oublie et dedaigne
Je parle du Dieu-Argent
Du dollar trebuchant
Des promesses du Texan
Menteur mais pourtant President
Ma Nouvelle Orleans".
Mitchell, Eddy