Lirieke: Marie-Pier Perreault. J'oublierai. Malgré Les Larmes.
Avec la detresse dans l'ame,
Et des pensees qui s'enflamment,
ce corps brise marque de trop,
Pour faire passer le trop de tout,
Elle voudrait courir si loin,
Courir pour distraire sa faim,
Se moquer d'elle en s'evadant,
Courir pour se fouetter le sang.
Et puis elle dit que tout va bien,
Et puis elle dit que ce n'est rien,
Mais moi je dit que j'ai si peur,
qu'elle se detruit d'heure en heure.
Elle saura bien resister,
Son estomac est sous cle,
Tant pis pour le ventre qui cri,
3 calories, sa vie s'enfuie,
Tous ces kilos sur sa peau,
La souffrance sur ces os,
Se contenter d'un bout de pain,
En faire son repas quotidien.
Et puis elle dit que tout va bien,
Et puis elle dit que ce n'est rien,
Mais moi je dit que j'ai si peur,
qu'elle se detruit d'heure en heure.
Elle est seule dans son espace,
Elle se fou du temps qui passe,
Qui dit que son corps se decharne,
Pourquoi vouloir sonner l'alarme
Vouloir gagner sur soi-meme,
Malgre un pauvre coeur qui saigne,
Sans meme recolter de medaille,
Vouloir gagner malgre les larmes.
Et puis elle dit que tout va bien,
Et puis elle dit que ce n'est rien,
Mais moi je dit que j'ai si peur,
Et que je l'aime de tout mon coeur.
(Merci a Nannou76 pour cettes paroles)
J'oublierai
Marie-Pier Perreault
Gewilde versoeke