Lirieke: Ludwig Von 88. 4560 Rp.
Un peu moins d'un an
Je suis suicide
J'ai creve ma tete par des sourires glauques
Un peu plus d'un siecle
Je reste annihile
Eclate mon crane par des idees noires
Fouilles dans mon coeur
Des souvenirs d'acides
J'ai crie ton nom en pleurant mon sang
Une tendance heureuse, a rester pensif
J'ai ruine mon ame en conjectures charmelles
Errer sans raison
Entre quatre murs
J'ai compte mes pas pour ne plus compter les secondes
400 ans deja
J'ai perdu la face,
Mes elans d'amour ne sont plus que cendres
Tendance suicidaire
Je plane a 4000
J'ai laisse pour mortes mes raisons de vivre
Fouiller dans mon crane,
Eclair de genie
J'effleurai du doigt la posterite
Un peu plus profond
Je suis submerge
J'ai crie bien haut que resonne le platre
Passe sans histoire,
Futur sans avenir
J'ai scelle mon nom dans l'anonymat
Lumiere tenebreuse
Je palpe du vide
J'ai senti mourir tout desir de luxe
Conclusion fortuite
Ne suis qu'un soupir
J'ai reve sans gloire que la lumiere brule...
Je suis suicide
J'ai creve ma tete par des sourires glauques
Un peu plus d'un siecle
Je reste annihile
Eclate mon crane par des idees noires
Fouilles dans mon coeur
Des souvenirs d'acides
J'ai crie ton nom en pleurant mon sang
Une tendance heureuse, a rester pensif
J'ai ruine mon ame en conjectures charmelles
Errer sans raison
Entre quatre murs
J'ai compte mes pas pour ne plus compter les secondes
400 ans deja
J'ai perdu la face,
Mes elans d'amour ne sont plus que cendres
Tendance suicidaire
Je plane a 4000
J'ai laisse pour mortes mes raisons de vivre
Fouiller dans mon crane,
Eclair de genie
J'effleurai du doigt la posterite
Un peu plus profond
Je suis submerge
J'ai crie bien haut que resonne le platre
Passe sans histoire,
Futur sans avenir
J'ai scelle mon nom dans l'anonymat
Lumiere tenebreuse
Je palpe du vide
J'ai senti mourir tout desir de luxe
Conclusion fortuite
Ne suis qu'un soupir
J'ai reve sans gloire que la lumiere brule...
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