Lirieke: Keny Arkana. Otras Canciones. Un Pavé De Plus (Hostile 2006).
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Ok, Keny Arkana, Hostile 2006, La rage du peuple, la rabia del pueblo...
Marseille...
Qu'ca marche ou non, dans ma lutte j'serais ferme, desole si j't'effraie,
Au nom des soeurs et freres, j'rap j'ai choisi d'rester vraie,
La meme raison ne m'a pas quitte,
Celle de me battre au nom d'mes idees, aux fideles et y'a qu'ma foi qui m'a guide,
Anti-systeme depuis l'foyer, et armee d'une plume aerienne,
Recoit les plaidoyers d'une petite galerienne,
Poussant parmi les parias, les barrieres,
Hors des sentiers battus, l'impression qu'ma vie n'est pas reelle,
On part au combat, on prit on desespere,
On crie, enfants que les institutions detesterent,
La rage au micro, la rage ils aimeraient m'faire taire,
Insolante depuis qu'on m'a dit qu'ma perte etait certaine,
Alors je rap, a ciel ouvert, esquivant les entraves,
Avant qu'ma rage bouffe completement les entrailles,
T'facon j'ai qu'ca et puis j'm'en tappe, de c'que les batards pensent,
Rien que la bataille danse, j'viens d'la ou se ressert les remparts.
Refrain: (x2)
Faut qu'ca resonne jusqu'a la capitale,
Mes mots des pierres contre vos tanks, Mon rap, un pave de plus contre vos barricades,
J'resisterai jusqu'a c'qu'il vienne m'abattre,
Jusqu'a c'qu'il vienne m'abattre, jusqu'a c'qu'il vienne m'abattre...
J'ai pas la pretention de servir une grande oeuvre,
L'impression d'mourir, tout en t'chantant la vie et sa grandeur,
Laisse faut qu'le message tourne vu qu'il met a mort vos lois,
De coeur a coeur j'cause, fait des morceaux qu'avec des morceaux d'moi,
Les pieds sur terre, on m'a dit "Wesh faut qu'tu montes" !
Impossible, j'porte en moi la rage qui crame dans les ruelles du monde,
Ma place est la, parmi les miens qui se revoltent,
A lutter contre, un esclavage mental qui nous devore,
Alors remballe, tes strass tes paillettes moi j'viens d'en bas,
Et j'compte pas m'laisser aveugler, touche pas a mon combat !
Plutot crever, que devenir leurs marionnettes,
Moi j'emmerde la vie d'artiste, j'ai jamais percu le rap comme un bizness,
Acharnee, j'ai demarre en bande,
Solitaire au Mic mais j'connais l'partage man j'ai grandi en bande !
Parano, car ce monde est avide,
Et parce que j'ai choisi de vivre mes reves plutot que de rever ma vie !
Refrain (x2)
Moi j'suis pas leur complice, alors laisse moi dans mon delire,
Eternelle incomprise, j'demande juste de lire entre les lignes,
Cousin, cousine, de ma tete je retire le gun,
Mais rien ne pourra enlever les eclats de verre qui me dechirent le coeur !
Alors je chante le blues de notre temps,
Nos vies un flingue contre nos tampes, Mes mots des pierres contre vos tanks !
La ou la rage se mesure en tonnes,
Au nom de l'Histoire et de son bafouement, je mets la memoire sur un trone,
Ce monde a perdu la raison, j'l'emmerde au nom des pots qui souffrent,
Ils ont dit chacun sa prison, donc y'a plus d'porte qui s'ouvre,
La colere nous escorte, et d'ssous,
La detresse a les crocs, pourquoi crier a l'aide vu qu'cette putain d'epoque est sourde,
Laisse moi, c'est l'SOUK dans mon crane,
C'est FOU comme on capte, j'me fout d'leurs contraintes, d'leur sous d'leur contrat,
FUCK ! Ton showbizz, Entend ce que mes sons disent,
Moi j'rap, integre, avec ou sans maison d'disque !
Refrain (x2)
Ok, Keny Arkana, Hostile 2006, La rage du peuple, la rabia del pueblo...
Marseille...
Qu'ca marche ou non, dans ma lutte j'serais ferme, desole si j't'effraie,
Au nom des soeurs et freres, j'rap j'ai choisi d'rester vraie,
La meme raison ne m'a pas quitte,
Celle de me battre au nom d'mes idees, aux fideles et y'a qu'ma foi qui m'a guide,
Anti-systeme depuis l'foyer, et armee d'une plume aerienne,
Recoit les plaidoyers d'une petite galerienne,
Poussant parmi les parias, les barrieres,
Hors des sentiers battus, l'impression qu'ma vie n'est pas reelle,
On part au combat, on prit on desespere,
On crie, enfants que les institutions detesterent,
La rage au micro, la rage ils aimeraient m'faire taire,
Insolante depuis qu'on m'a dit qu'ma perte etait certaine,
Alors je rap, a ciel ouvert, esquivant les entraves,
Avant qu'ma rage bouffe completement les entrailles,
T'facon j'ai qu'ca et puis j'm'en tappe, de c'que les batards pensent,
Rien que la bataille danse, j'viens d'la ou se ressert les remparts.
Refrain: (x2)
Faut qu'ca resonne jusqu'a la capitale,
Mes mots des pierres contre vos tanks, Mon rap, un pave de plus contre vos barricades,
J'resisterai jusqu'a c'qu'il vienne m'abattre,
Jusqu'a c'qu'il vienne m'abattre, jusqu'a c'qu'il vienne m'abattre...
J'ai pas la pretention de servir une grande oeuvre,
L'impression d'mourir, tout en t'chantant la vie et sa grandeur,
Laisse faut qu'le message tourne vu qu'il met a mort vos lois,
De coeur a coeur j'cause, fait des morceaux qu'avec des morceaux d'moi,
Les pieds sur terre, on m'a dit "Wesh faut qu'tu montes" !
Impossible, j'porte en moi la rage qui crame dans les ruelles du monde,
Ma place est la, parmi les miens qui se revoltent,
A lutter contre, un esclavage mental qui nous devore,
Alors remballe, tes strass tes paillettes moi j'viens d'en bas,
Et j'compte pas m'laisser aveugler, touche pas a mon combat !
Plutot crever, que devenir leurs marionnettes,
Moi j'emmerde la vie d'artiste, j'ai jamais percu le rap comme un bizness,
Acharnee, j'ai demarre en bande,
Solitaire au Mic mais j'connais l'partage man j'ai grandi en bande !
Parano, car ce monde est avide,
Et parce que j'ai choisi de vivre mes reves plutot que de rever ma vie !
Refrain (x2)
Moi j'suis pas leur complice, alors laisse moi dans mon delire,
Eternelle incomprise, j'demande juste de lire entre les lignes,
Cousin, cousine, de ma tete je retire le gun,
Mais rien ne pourra enlever les eclats de verre qui me dechirent le coeur !
Alors je chante le blues de notre temps,
Nos vies un flingue contre nos tampes, Mes mots des pierres contre vos tanks !
La ou la rage se mesure en tonnes,
Au nom de l'Histoire et de son bafouement, je mets la memoire sur un trone,
Ce monde a perdu la raison, j'l'emmerde au nom des pots qui souffrent,
Ils ont dit chacun sa prison, donc y'a plus d'porte qui s'ouvre,
La colere nous escorte, et d'ssous,
La detresse a les crocs, pourquoi crier a l'aide vu qu'cette putain d'epoque est sourde,
Laisse moi, c'est l'SOUK dans mon crane,
C'est FOU comme on capte, j'me fout d'leurs contraintes, d'leur sous d'leur contrat,
FUCK ! Ton showbizz, Entend ce que mes sons disent,
Moi j'rap, integre, avec ou sans maison d'disque !
Refrain (x2)
Otras Canciones
Keny Arkana
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Onlangse versoeke