Lirieke: Jean-Jacques Goldman. Puisque Tu Pars.
Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-dela des vents, plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A defaut de le comprendre
A rever nos desirs et vivre des ainsi-soit-il
Et puisque tu penses
Comme une intime evidence
Que parfois meme tout donner n'est pas forcement suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton coeur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te menent ou d'autres ames plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque
l'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne
Mais que tu restes le meme
Si tu te trahissais, nous t'aurions tout a fait perdu
Garde cette chance
Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau
reste a venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi
comme une empreinte
indelebile
Sans drame, sans larme
Pauvres et derisoires armes
Parce qu'il est des douleurs,
qui ne pleurent qu'a l'interieur
Puisque ta maison, aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton exil, essaie d'apprendre a revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire, garde en memoire
Notre au revoir, puisque tu pars
J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste,
mais tu ne l'as pas fait
J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais,
ca n'etait pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez...
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-dela des vents, plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A defaut de le comprendre
A rever nos desirs et vivre des ainsi-soit-il
Et puisque tu penses
Comme une intime evidence
Que parfois meme tout donner n'est pas forcement suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton coeur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te menent ou d'autres ames plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque
l'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne
Mais que tu restes le meme
Si tu te trahissais, nous t'aurions tout a fait perdu
Garde cette chance
Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau
reste a venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi
comme une empreinte
indelebile
Sans drame, sans larme
Pauvres et derisoires armes
Parce qu'il est des douleurs,
qui ne pleurent qu'a l'interieur
Puisque ta maison, aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton exil, essaie d'apprendre a revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire, garde en memoire
Notre au revoir, puisque tu pars
J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste,
mais tu ne l'as pas fait
J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais,
ca n'etait pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez...
Jean-Jacques Goldman
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