Lirieke: Jean Ferrat. Chante L'amour.
Enfin le calme le silence
La nuit se glisse a mes genoux
Est-ce la chouette ou le hibou
Ce cri tendu de fer de lance
Plus rien ne se metamorphose
Ma vie se fige tout a coup
On dirait lorsque je compose
Que je joue mon dernier atout
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l'amour a haute voix
Un papillon cogne a la vitre
Avec une ardeur obstinee
Une lumiere sous le nez
Et nous voila faisant le pitre
A chacun sa lampe sa source
A chacun son maitre a danser
Emmene-moi sur ta Grande Ourse
O mon amour dont je suis ne
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l'amour a haute voix
Au loin les lumieres s'allument
Ce papier qui me tend les bras
Chaque fois que je prends la plume
Je tremble de peur et de froid
Je vais j'hesite et je recule
Qui veut se delivrer de moi
Quel est donc ce feu qui me brule
Qui sonne l'heure a ce beffroi
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l'amour a haute voix
Le temps s'egrene sous la treille
Le crayon me glisse des doigts
Quand ta robe en passant m'eveille
L'amour est comme de la soie
Enfants jouez a la marelle
Dehors la pluie claque des doigts
Tes levres passent en bruit d'ailes
Je n'ai jamais aime que toi
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l'amour a haute voix
La nuit se glisse a mes genoux
Est-ce la chouette ou le hibou
Ce cri tendu de fer de lance
Plus rien ne se metamorphose
Ma vie se fige tout a coup
On dirait lorsque je compose
Que je joue mon dernier atout
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l'amour a haute voix
Un papillon cogne a la vitre
Avec une ardeur obstinee
Une lumiere sous le nez
Et nous voila faisant le pitre
A chacun sa lampe sa source
A chacun son maitre a danser
Emmene-moi sur ta Grande Ourse
O mon amour dont je suis ne
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l'amour a haute voix
Au loin les lumieres s'allument
Ce papier qui me tend les bras
Chaque fois que je prends la plume
Je tremble de peur et de froid
Je vais j'hesite et je recule
Qui veut se delivrer de moi
Quel est donc ce feu qui me brule
Qui sonne l'heure a ce beffroi
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l'amour a haute voix
Le temps s'egrene sous la treille
Le crayon me glisse des doigts
Quand ta robe en passant m'eveille
L'amour est comme de la soie
Enfants jouez a la marelle
Dehors la pluie claque des doigts
Tes levres passent en bruit d'ailes
Je n'ai jamais aime que toi
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l'amour a haute voix
Gewilde versoeke