Lirieke: Jérôme Attal. Au Plaisir.
Les arbres chavirent le couchant
Les contes pour dormir se preparent en coulisse,
Tes paupieres lourdes ont sale les etangs
Ou tu t'es baignee jusqu'aux cuisses.
Et suivre ta route eut le gout de l'anis
Mensonges d'amour sous ta peau se glissent
Au bout de tes jambes il y a une impasse
Ou j'ai joue souvent
a la marelle
En atteignant le ciel.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
He bien au plaisir desormais.
Tes jambes nues jamais ne me rejoignent
C'en est fini des refuges d'amour
D'autres que nous ont mordu dans l'entame
Coeur aveugle et sans retour.
Et suivre ta route fut mon mat de cocagne
De l'amour fou je fais triste reclame
Au bord de ta vie il y a une vague
Qui m'a porte
Qui m'a porte et m'a laisse tomber.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
He bien au plaisir desormais.
Les contes pour dormir se preparent en coulisse,
Tes paupieres lourdes ont sale les etangs
Ou tu t'es baignee jusqu'aux cuisses.
Et suivre ta route eut le gout de l'anis
Mensonges d'amour sous ta peau se glissent
Au bout de tes jambes il y a une impasse
Ou j'ai joue souvent
a la marelle
En atteignant le ciel.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
He bien au plaisir desormais.
Tes jambes nues jamais ne me rejoignent
C'en est fini des refuges d'amour
D'autres que nous ont mordu dans l'entame
Coeur aveugle et sans retour.
Et suivre ta route fut mon mat de cocagne
De l'amour fou je fais triste reclame
Au bord de ta vie il y a une vague
Qui m'a porte
Qui m'a porte et m'a laisse tomber.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
J'aimais te faire plaisir
Bien j'aimais.
He bien au plaisir desormais.
Jérôme Attal