Lirieke: Indochine. Le Baiser. La Colline Des Roses.
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La fin du jour dans cette ville
Est etrange
Des passants passent en silence
Dans les brumes de decembre
Un vent glacial souffle et domine
Imperial
On dirait qu'il y a des anges
Sur la colline des roses
Mais les nuits sont trop violentes
Elles arrivent comme une erreur attirante,
Une erreur aveuglante
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Dans un jardin
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Au fond de mon jardin
Je n'ai que mes yeux
Pour les regarder
Que deux mains pour les toucher
Mais qu'une bouche pour les embrasser
Mais qui pense que ca les derange
Que des anges en toute innocence
... marchent sur des roses qui eclosent
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Dans un jardin
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Au fond de mon jardin
Je deteste les mois de decembre
Elle hait tous ces dimanches
Mais les nuits sont trop violentes
Elles arrivent comme des erreurs
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Dans un jardin
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Au fond de mon jardin
Je deteste les mois de decembre
Elle hait tous ces dimanches
Mais les nuits sont trop violentes
Une nuit sur la colline des roses...
Ouh ! Ouh !
La fin du jour dans cette ville
Est etrange
Des passants passent en silence
Dans les brumes de decembre
Un vent glacial souffle et domine
Imperial
On dirait qu'il y a des anges
Sur la colline des roses
Mais les nuits sont trop violentes
Elles arrivent comme une erreur attirante,
Une erreur aveuglante
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Dans un jardin
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Au fond de mon jardin
Je n'ai que mes yeux
Pour les regarder
Que deux mains pour les toucher
Mais qu'une bouche pour les embrasser
Mais qui pense que ca les derange
Que des anges en toute innocence
... marchent sur des roses qui eclosent
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Dans un jardin
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Au fond de mon jardin
Je deteste les mois de decembre
Elle hait tous ces dimanches
Mais les nuits sont trop violentes
Elles arrivent comme des erreurs
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Dans un jardin
Il y a des petites fees
Au creux de ma main
Et qui prennent le the
Au fond de mon jardin
Je deteste les mois de decembre
Elle hait tous ces dimanches
Mais les nuits sont trop violentes
Une nuit sur la colline des roses...
Ouh ! Ouh !
Le Baiser