Lirieke: Georges Brassens. Je Bivouaque Au Pays De Cocagne.
Une rue sans joie ou les sbires
Tout seuls ne s'aventurent pas,
Un coupe-gorge et meme pire,
La venelle ou trainaient mes pas !
Mais j'avais mange du poete,
Je marchais un peu sur la tete,
Et cett' rue je l'ai traversee
Comm' l'avenue des Champs-Elysees.
{Refrain:}
Je bivouaque au
Pays de Co -
cagne depuis
Que j'ai boute
La verite
Au fond du puits.
Beaute du diable et qui n'inspire
Pas l'envie d'aller en sabbat,
Epouvantail et meme pire,
La fille m'offrant ses appas !
Mais j'avais mange du poete,
Je marchais un peu sur la tete,
Et j'ai change cette petite
En une Venus Aphrodite.
{Refrain}
Quatre anges dechus qui soupirent
Si peu qu'on ne les entend pas,
Jamais etreinte ne fut pire,
Jamais amour vola si bas !
Mais j'avais mange du poete,
Je marchais un peu sur la tete,
Et quittant doucement la terre
Je fus a bon port a Cythere.
{Refrain}
Tout seuls ne s'aventurent pas,
Un coupe-gorge et meme pire,
La venelle ou trainaient mes pas !
Mais j'avais mange du poete,
Je marchais un peu sur la tete,
Et cett' rue je l'ai traversee
Comm' l'avenue des Champs-Elysees.
{Refrain:}
Je bivouaque au
Pays de Co -
cagne depuis
Que j'ai boute
La verite
Au fond du puits.
Beaute du diable et qui n'inspire
Pas l'envie d'aller en sabbat,
Epouvantail et meme pire,
La fille m'offrant ses appas !
Mais j'avais mange du poete,
Je marchais un peu sur la tete,
Et j'ai change cette petite
En une Venus Aphrodite.
{Refrain}
Quatre anges dechus qui soupirent
Si peu qu'on ne les entend pas,
Jamais etreinte ne fut pire,
Jamais amour vola si bas !
Mais j'avais mange du poete,
Je marchais un peu sur la tete,
Et quittant doucement la terre
Je fus a bon port a Cythere.
{Refrain}
Georges Brassens
Georges Brassens
Ander uitvoerders
Gewilde versoeke