Lirieke: Gérard Ansaloni. Iv.
Alors que la petite etait encore nue,
Endormie et saline, etonne de ce don
D'un dieu devenu fou, je scrutais la venue
D'un frisson sur la peau du corps a l'abandon.
Et la mer, au dehors, enervait les chevaux
Du dieu Poseidon pour que vit un poete
Se briser leurs crins blancs aux rochers de nouveau...
La soiree s'enflammait sur son ventre d'athlete.
Quand les annees viendront -Rappelle-toi mon ame...-
Se souvenir a moi de leurs credits d'antan,
Que repondrai-je alors a ces regards de blame,
A cette pauvre tete enlaidie sous les fards,
A ces alexandrins, sonnets ou pauvres rimes ?...
"La soiree s'enflammait la ou suait le nard !".
Endormie et saline, etonne de ce don
D'un dieu devenu fou, je scrutais la venue
D'un frisson sur la peau du corps a l'abandon.
Et la mer, au dehors, enervait les chevaux
Du dieu Poseidon pour que vit un poete
Se briser leurs crins blancs aux rochers de nouveau...
La soiree s'enflammait sur son ventre d'athlete.
Quand les annees viendront -Rappelle-toi mon ame...-
Se souvenir a moi de leurs credits d'antan,
Que repondrai-je alors a ces regards de blame,
A cette pauvre tete enlaidie sous les fards,
A ces alexandrins, sonnets ou pauvres rimes ?...
"La soiree s'enflammait la ou suait le nard !".
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