Lirieke: Gérald De Palmas. La Dernière Année. Comme Une Ombre.
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Des que les lumieres s'eteignent
Quand le doute s'installe en moi
Je sens que la nuit est mienne
Je ne ressens plus le froid
Et je ne tiens plus les rennes
Attire par le cote sombre
Sur les murs je glisse sans peine
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Sur les toits j'observe la vie
De tous ceux qui vivent la nuit
Ces gens uses par l'ennui
Et dire que j'en fais partie
Mais ici c'est mon domaine
Dans la nuit je peux me fondre
Sur les toits je glisse sans peine
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Tous mes pouvoirs me quittent
Il est trop tard pour la fuite
Rester encore j'hesite
Car je sens le froid qui m'attend en bas
Mais tous mes reves disparaissent
La nuit laisse place au jour
Je flotte dans une brume epaisse
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Des que les lumieres s'eteignent
Quand le doute s'installe en moi
Je sens que la nuit est mienne
Je ne ressens plus le froid
Et je ne tiens plus les rennes
Attire par le cote sombre
Sur les murs je glisse sans peine
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Sur les toits j'observe la vie
De tous ceux qui vivent la nuit
Ces gens uses par l'ennui
Et dire que j'en fais partie
Mais ici c'est mon domaine
Dans la nuit je peux me fondre
Sur les toits je glisse sans peine
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Tous mes pouvoirs me quittent
Il est trop tard pour la fuite
Rester encore j'hesite
Car je sens le froid qui m'attend en bas
Mais tous mes reves disparaissent
La nuit laisse place au jour
Je flotte dans une brume epaisse
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Comme une ombre
Gérald De Palmas
La Dernière Année
Gérald De Palmas