Lirieke: François Feldman. Longue Nuit.
Avec le jour qui s'evapore
Et les oiseaux qui trainent encore
C'est l'heure cruelle ou se melangent
Les ombres sur un ciel un ciel orange
Dans cet exil ou tu n'es pas
Tu es partout tout a la fois
Le vent fragile ou la chaleur
La fievre bleue sous l'equateur
J'T'ATTENDS TOUT AU BOUT DE LA PEUR QUI S'AVANCE
D'UNE Longue Nuit QUI COMMENCE
J'T'ATTENDS COMME ON GUETTE LA FIN DU SILENCE
D'UNE Longue Nuit QUI COMMENCE
Et je regarde la plage beante
Ou viennet les tortues geantes
La nuit ressemble a un complot
Ou tout se trame a demi-mots
Il y a les bruits de ton absence
Et les secrets de ta presence
Dans cette moiteur ou je frissonne
Il ne vient plus jamais personne
J'T'ATTENDS TOUT AU BOUT DE LA PEUR QUI S'AVANCE
D'UNE Longue Nuit QUI COMMENCE
J'T'ATTENDS COMME ON GUETTE LA FIN DU SILENCE
D'UNE Longue Nuit QUI COMMENCE
Et les oiseaux qui trainent encore
C'est l'heure cruelle ou se melangent
Les ombres sur un ciel un ciel orange
Dans cet exil ou tu n'es pas
Tu es partout tout a la fois
Le vent fragile ou la chaleur
La fievre bleue sous l'equateur
J'T'ATTENDS TOUT AU BOUT DE LA PEUR QUI S'AVANCE
D'UNE Longue Nuit QUI COMMENCE
J'T'ATTENDS COMME ON GUETTE LA FIN DU SILENCE
D'UNE Longue Nuit QUI COMMENCE
Et je regarde la plage beante
Ou viennet les tortues geantes
La nuit ressemble a un complot
Ou tout se trame a demi-mots
Il y a les bruits de ton absence
Et les secrets de ta presence
Dans cette moiteur ou je frissonne
Il ne vient plus jamais personne
J'T'ATTENDS TOUT AU BOUT DE LA PEUR QUI S'AVANCE
D'UNE Longue Nuit QUI COMMENCE
J'T'ATTENDS COMME ON GUETTE LA FIN DU SILENCE
D'UNE Longue Nuit QUI COMMENCE