Lirieke: Etienne Daho. Eden. Soudain.
Comme si j'etais assis, la haut au paradis
de l'autre cote de ma vie, le paradis acquis
c'etait un grand jeudi
tous les jours paradis
de l'autre cote de la rue, mon paradis perdu
soudain quel est ce rayon eblouissant
elu parmi ces milliers d'passants sans reves
qui ne savent pas etre heureux
comme si j'etais assis, la haut au paradis
de l'autre cote de ma rue, mon paradis perdu
soudain, je me sens le c?ur leger leger
presque trop heureux a en crever,
c'est bete, c'est un sentiment merveilleux
comme si j'avais acquis un p'tit bout d'paradis
tous les espoirs me sont permis puisque je suis en vie
tous les espoirs me sont permis
au paradis.
Etienne Daho
Eden
Etienne Daho
Gewilde versoeke