Lirieke: Diane Tell. Clic.
Dans un cadre sur mon bureau
Un portrait de nous deux
Assis au pied d'un bouleau
Comme de vrais amoureux,
C'est fou ce que t'as l'air de m'aimer
Toi l'amant qui m'a froidement balayee
Ca fait clic
Un instantane
Sur du papier plastique
Au fini glace
Tu as le chic
Pour dissimuler
Le jeu d'un tricheur
Qui prevoit les coups du sort
Tu m'as laissee par hasard
Sans explication
Ni l'ombre du moindre espoir
Sans demander pardon
Et je suis restee plantee la
A respirer la poussiere d'autrefois
Je l'ai place sur le mur
Le portrait de nous deux
Dans le coin le plus obscur
Loin du coeur loin des yeux,
Ce cliche n'est qu'une illusion
Ou le reve a raison de la raison
Ca fait clic
Un instantane
Sur du papier plastique
Au fini glace
C'est comme un flic
Un instantane
Et je doute fort
Qu'il soit le miroir du coeur
Un portrait de nous deux
Assis au pied d'un bouleau
Comme de vrais amoureux,
C'est fou ce que t'as l'air de m'aimer
Toi l'amant qui m'a froidement balayee
Ca fait clic
Un instantane
Sur du papier plastique
Au fini glace
Tu as le chic
Pour dissimuler
Le jeu d'un tricheur
Qui prevoit les coups du sort
Tu m'as laissee par hasard
Sans explication
Ni l'ombre du moindre espoir
Sans demander pardon
Et je suis restee plantee la
A respirer la poussiere d'autrefois
Je l'ai place sur le mur
Le portrait de nous deux
Dans le coin le plus obscur
Loin du coeur loin des yeux,
Ce cliche n'est qu'une illusion
Ou le reve a raison de la raison
Ca fait clic
Un instantane
Sur du papier plastique
Au fini glace
C'est comme un flic
Un instantane
Et je doute fort
Qu'il soit le miroir du coeur
Diane Tell