Lirieke: Didier Barbelivien. Les Moulins De Mon Cur.
Comme une pierre que l'on jette,
Dans l'eau vive d'un ruisseau,
Et qui laisse derriere elle,
Des milliers de ronds dans l'eau.
Comme un manege de lune,
Avec ses chevaux d'etoiles.
Comme un anneau de Saturne,
Un ballon de carnaval.
Comme le chemin de ronde,
Que font sans cesse les hommes.
Le voyage autour du monde,
D'un tournesol dans sa fleur,
Tu fais tourner de ton nom,
Tous les moulins de mon coeur.
Comme un echeveau de laine,
Entre les mains d'un enfant,
Ou les mots d'une rengaine,
Pris dans les harpes du vent.
Comme un tourbillon de neige,
Comme un vol de goeland,
Sur les forets de norvege,
Sur des montons d'ocean.
Comme le chemin de ronde,
Que font sans cesse les hommes.
Le voyage autour du monde,
D'un tournesol dans sa fleur.
Tu fais tourner de ton nom,
Tous les moulins de mon coeur.
Ce jour-la pres de la source,
Dieu sait ce que tu m'as dit.
Mais l'ete finit sa course,
L'oiseau tomba de son nid.
Et voila que sur le sable,
Nos pas s'effacent deja.
Et je suis seul a la table,
Qui resonnent sous mes doigts.
Comme un tambourin qui pleure,
Sous les gouttes de la pluie.
Comme les chansons qui meurent.
Si tot qu'on les oublie,
Et les feuilles de l'automne,
Rencontrent des ciels moins bleus.
Et ton absence leur donne,
La couleur de tes cheveux.
Une pierre que l'on jette,
Dans l'eau vive d'un ruisseau,
Et qui laisse derriere elle,
Des milliers de ronds dans l'eau.
Au vent des quatre saisons,
Tu fais tourner de ton nom,
Tous les moulins de mon coeur.
(Merci a Skandinavien pour cettes paroles)
Dans l'eau vive d'un ruisseau,
Et qui laisse derriere elle,
Des milliers de ronds dans l'eau.
Comme un manege de lune,
Avec ses chevaux d'etoiles.
Comme un anneau de Saturne,
Un ballon de carnaval.
Comme le chemin de ronde,
Que font sans cesse les hommes.
Le voyage autour du monde,
D'un tournesol dans sa fleur,
Tu fais tourner de ton nom,
Tous les moulins de mon coeur.
Comme un echeveau de laine,
Entre les mains d'un enfant,
Ou les mots d'une rengaine,
Pris dans les harpes du vent.
Comme un tourbillon de neige,
Comme un vol de goeland,
Sur les forets de norvege,
Sur des montons d'ocean.
Comme le chemin de ronde,
Que font sans cesse les hommes.
Le voyage autour du monde,
D'un tournesol dans sa fleur.
Tu fais tourner de ton nom,
Tous les moulins de mon coeur.
Ce jour-la pres de la source,
Dieu sait ce que tu m'as dit.
Mais l'ete finit sa course,
L'oiseau tomba de son nid.
Et voila que sur le sable,
Nos pas s'effacent deja.
Et je suis seul a la table,
Qui resonnent sous mes doigts.
Comme un tambourin qui pleure,
Sous les gouttes de la pluie.
Comme les chansons qui meurent.
Si tot qu'on les oublie,
Et les feuilles de l'automne,
Rencontrent des ciels moins bleus.
Et ton absence leur donne,
La couleur de tes cheveux.
Une pierre que l'on jette,
Dans l'eau vive d'un ruisseau,
Et qui laisse derriere elle,
Des milliers de ronds dans l'eau.
Au vent des quatre saisons,
Tu fais tourner de ton nom,
Tous les moulins de mon coeur.
(Merci a Skandinavien pour cettes paroles)
Barbelivien, Didier
Barbelivien, Didier
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