Lirieke: Barbara. Tu Ne Te Souviendras Pas.
Tu ne te souviendras pas
De cette nuit ou l'on s'aimait,
Toutes les nuits, cahin-caha,
S'effeuillent au calendrier.
Tu ne te souviendras pas
De mon visage, de mon nom.
Les marionnettes d'ici-bas
Font trois petits tours et puis s'en vont.
Tu ne te souviendras pas
Du vent, des algues, de cette plage,
De ce silence, de notre emoi
Quand se sont meles nos visages.
Tu ne te souviendras pas.
Nous etions la, emerveilles.
J'ai glisse un peu contre toi.
Contre toi, tu m'as entrainee.
Tu ne te souviendras pas
De nos corps couches sur le sol.
Les corps s'enfoncent comme les pas
Dans le sable ou le vent les vole.
Tu ne te souviendras pas.
Doucement, la nuit s'est penchee,
Trainant dans son manteau de soie
Des morceaux de ciel etoile.
L'amour nous menait en voyage.
Longtemps, nous avons navigue.
La mer se cognait au rivage.
Dans tes yeux, je me suis noyee.
L'amour nous menait en voyage.
On s'est aime, on s'est aime.
Qu'il fut merveilleux, le naufrage
Quand, dans tes bras, j'ai chavire.
Passent les jours, file le temps,
S'egrenent les calendriers,
Brule l'ete, soufflent les vents.
Moi, je ne peux rien oublier.
J'attends sur la plage deserte
Et je vis le creux du passe.
Je laisse ma porte entrouverte.
Reviens, nous pourrons la fermer.
Tu ne te souviendras pas
De cette nuit ou l'on s'aimait,
Toutes les nuits, cahin-caha,
S'effeuillent au calendrier...
De cette nuit ou l'on s'aimait,
Toutes les nuits, cahin-caha,
S'effeuillent au calendrier.
Tu ne te souviendras pas
De mon visage, de mon nom.
Les marionnettes d'ici-bas
Font trois petits tours et puis s'en vont.
Tu ne te souviendras pas
Du vent, des algues, de cette plage,
De ce silence, de notre emoi
Quand se sont meles nos visages.
Tu ne te souviendras pas.
Nous etions la, emerveilles.
J'ai glisse un peu contre toi.
Contre toi, tu m'as entrainee.
Tu ne te souviendras pas
De nos corps couches sur le sol.
Les corps s'enfoncent comme les pas
Dans le sable ou le vent les vole.
Tu ne te souviendras pas.
Doucement, la nuit s'est penchee,
Trainant dans son manteau de soie
Des morceaux de ciel etoile.
L'amour nous menait en voyage.
Longtemps, nous avons navigue.
La mer se cognait au rivage.
Dans tes yeux, je me suis noyee.
L'amour nous menait en voyage.
On s'est aime, on s'est aime.
Qu'il fut merveilleux, le naufrage
Quand, dans tes bras, j'ai chavire.
Passent les jours, file le temps,
S'egrenent les calendriers,
Brule l'ete, soufflent les vents.
Moi, je ne peux rien oublier.
J'attends sur la plage deserte
Et je vis le creux du passe.
Je laisse ma porte entrouverte.
Reviens, nous pourrons la fermer.
Tu ne te souviendras pas
De cette nuit ou l'on s'aimait,
Toutes les nuits, cahin-caha,
S'effeuillent au calendrier...
Barbara