Lirieke: Barbara. C'est Trop Tard.
C'est trop tard pour verser des larmes,
Maintenant qu'ils ne sont plus la.
Trop tard, retenez vos larmes.
Trop tard, ils ne les verront pas
Car c'est du temps de leur vivant
Qu'il faut aimer ceux que l'on aime,
Car c'est du temps de leur vivant
Qu'il faut donner a ceux qu'on aime.
Ils sont couches dessous la terre
Dans leurs maisons froides et nues
Ou n'entrera plus la lumiere,
Ou plus rien ne penetre plus.
Que feront-ils de tant de fleurs,
Maintenant qu'ils ne sont plus la ?
Que feront-ils de tant de fleurs,
De tant de fleurs a la fois ?
Alliez-vous leur porter des roses
Du temps qu'ils etaient encore la ?
Alliez-vous leur porter des roses ?
Ils auraient prefere, je crois.
Que vous sachiez dire je t'aime,
Que vous leur disiez plus souvent,
Ils auraient voulu qu'on les aime
Du temps, du temps de leur vivant.
Les voila comme des statues
Dans le froid jardin du silence
Ou les oiseaux ne chantent plus,
Ou plus rien n'a plus d'importance.
Plus jamais ne verront la mer,
Plus jamais le soir qui se penche,
Les grandes forets en hiver,
L'automne rousse dans les branches,
Mais nous n'avons que des regrets,
Mais nous n'avons que des remords,
Mais ils ne le sauront jamais.
Ils n'entendent plus, c'est trop tard,
Trop tard, trop tard...
Maintenant qu'ils ne sont plus la.
Trop tard, retenez vos larmes.
Trop tard, ils ne les verront pas
Car c'est du temps de leur vivant
Qu'il faut aimer ceux que l'on aime,
Car c'est du temps de leur vivant
Qu'il faut donner a ceux qu'on aime.
Ils sont couches dessous la terre
Dans leurs maisons froides et nues
Ou n'entrera plus la lumiere,
Ou plus rien ne penetre plus.
Que feront-ils de tant de fleurs,
Maintenant qu'ils ne sont plus la ?
Que feront-ils de tant de fleurs,
De tant de fleurs a la fois ?
Alliez-vous leur porter des roses
Du temps qu'ils etaient encore la ?
Alliez-vous leur porter des roses ?
Ils auraient prefere, je crois.
Que vous sachiez dire je t'aime,
Que vous leur disiez plus souvent,
Ils auraient voulu qu'on les aime
Du temps, du temps de leur vivant.
Les voila comme des statues
Dans le froid jardin du silence
Ou les oiseaux ne chantent plus,
Ou plus rien n'a plus d'importance.
Plus jamais ne verront la mer,
Plus jamais le soir qui se penche,
Les grandes forets en hiver,
L'automne rousse dans les branches,
Mais nous n'avons que des regrets,
Mais nous n'avons que des remords,
Mais ils ne le sauront jamais.
Ils n'entendent plus, c'est trop tard,
Trop tard, trop tard...
Barbara