Lirieke: Arrakeen. Folle Marie.
De l'autre cote de la folie
Il y vit Marie
Qui pleure, qui gemit,
Qui a fige sa vie.
Visage dans l'absence,
La source se tarit de tes croyances.
Vis, sors de la et viens vers toi.
Oh, je suis juste ici,
Apprendre, comprendre ta vie,
Te suivre jusque dans les "si".
Laisse moi, laisse moi
Me tromper, me noyer, ou te donner
Un arc en ciel pour peindre
Les couleurs de tes regards
D'un ton plus rare.
DEMENCE
Marie:
"Juste un mystere qui frotte et souffle sur moi
Victime de la douleur qui me fait horreur.
Agonie honteuse qui enserre mes nerfs;
Je vomis ma rage et je traine mon sang.
l'echo d'un tourment qui eclate mon c?ur;
Le mur dans mon ciel emprisonne l'oiseau,
Passe et present se melangent a ma peau,
Ridee d'attente de peurs de cris."
De l'autre cote de la folie
Il y vit Marie
Profil fige, tu meurs de tes secrets.
C'est facile pourtant d'approcher
Du monde pour nous rencontrer.
De passer les barrieres
Qui te separent de l'univers.
Le funambule decide de prendre sa perche,
Ne pas tomber, ne pas glisser.
Elle pose un pied, ses yeux regardent la terre.
Marie croit rever,
Elle part vers la realite.
Il y vit Marie
Qui pleure, qui gemit,
Qui a fige sa vie.
Visage dans l'absence,
La source se tarit de tes croyances.
Vis, sors de la et viens vers toi.
Oh, je suis juste ici,
Apprendre, comprendre ta vie,
Te suivre jusque dans les "si".
Laisse moi, laisse moi
Me tromper, me noyer, ou te donner
Un arc en ciel pour peindre
Les couleurs de tes regards
D'un ton plus rare.
DEMENCE
Marie:
"Juste un mystere qui frotte et souffle sur moi
Victime de la douleur qui me fait horreur.
Agonie honteuse qui enserre mes nerfs;
Je vomis ma rage et je traine mon sang.
l'echo d'un tourment qui eclate mon c?ur;
Le mur dans mon ciel emprisonne l'oiseau,
Passe et present se melangent a ma peau,
Ridee d'attente de peurs de cris."
De l'autre cote de la folie
Il y vit Marie
Profil fige, tu meurs de tes secrets.
C'est facile pourtant d'approcher
Du monde pour nous rencontrer.
De passer les barrieres
Qui te separent de l'univers.
Le funambule decide de prendre sa perche,
Ne pas tomber, ne pas glisser.
Elle pose un pied, ses yeux regardent la terre.
Marie croit rever,
Elle part vers la realite.
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