Lirieke: Dick Annegarn. Evanesca.
Tout a commence a la mi-journee
L'air etait limpide, rien a signaler
Je faisais mon tour autour de mon quartier
Pour y chercher l'amour que j'aurais pu trouver
Le ciel grattait americain
La foule etait nombreuse
Le temps comptait contemporain,
Souffrait la sulfateuse
Tout a commence par se dessiner
Par se preciser par traits reguliers
Je pouvais te voir, t'etais de l'autr' cote
Sur le bord du trottoir peut-etre trop entouree
Le ciel grattait americain
La foule etait nombreuse
Le temps comptait contemporain
Souffrait la sulfateuse
Tout a commence par se precipiter
Comme ca dans le vide d'une quelconque journee
L'ame qui m'etait chere, celle que j'ai aimee
D'un seul coup, d'un eclair s'est evanescee
Le ciel grattait americain
La foule etait nombreuse
Le temps comptait contemporain
Souffrait la sulfateuse
L'air etait limpide, rien a signaler
Je faisais mon tour autour de mon quartier
Pour y chercher l'amour que j'aurais pu trouver
Le ciel grattait americain
La foule etait nombreuse
Le temps comptait contemporain,
Souffrait la sulfateuse
Tout a commence par se dessiner
Par se preciser par traits reguliers
Je pouvais te voir, t'etais de l'autr' cote
Sur le bord du trottoir peut-etre trop entouree
Le ciel grattait americain
La foule etait nombreuse
Le temps comptait contemporain
Souffrait la sulfateuse
Tout a commence par se precipiter
Comme ca dans le vide d'une quelconque journee
L'ame qui m'etait chere, celle que j'ai aimee
D'un seul coup, d'un eclair s'est evanescee
Le ciel grattait americain
La foule etait nombreuse
Le temps comptait contemporain
Souffrait la sulfateuse
Gewilde versoeke