Lirieke: Andrex. Si L'on Ne S'était Pas Connu.
Ce n'est que le chant d'un marin qui, le soir,
Le fredonnait a son bord,
En quittant le port.
Ce n'est qu'un refrain qu'il chantait plein d'espoir
Souvenir des doux aveux
Murmures a deux.
{Refrain:}
Si l'on ne s'etait pas connu,
Jamais mon c?ur, jamais mes levres,
Non jamais, n'auraient retenu
Le souvenir de nos heures de fievre.
Je n'aurais pas, lorsque je pars,
Besoin de revoir ton regard,
Je n'aurais pas, quand je te vois,
Ce petit tremblement d'emoi.
L'amour ne serait pas venu
Si l'on ne s'etait pas connu.
Quand le flot mechant fait craindre le danger,
Le marin riant du vent,
Seul chante a l'avant
Son c?ur le lui dit, il ne peut naufrager
Il chante les jours defunts
Malgre les embruns.
{au Refrain}
Mais celle pour qui le marin chante ainsi
A bien d'autres matelots
Voguant sur les flots.
Qu'importe ! Chacun se croit seul et, ravi,
Trouvant l'exil bien moins long,
Chante au moussaillon
{au Refrain}
Le fredonnait a son bord,
En quittant le port.
Ce n'est qu'un refrain qu'il chantait plein d'espoir
Souvenir des doux aveux
Murmures a deux.
{Refrain:}
Si l'on ne s'etait pas connu,
Jamais mon c?ur, jamais mes levres,
Non jamais, n'auraient retenu
Le souvenir de nos heures de fievre.
Je n'aurais pas, lorsque je pars,
Besoin de revoir ton regard,
Je n'aurais pas, quand je te vois,
Ce petit tremblement d'emoi.
L'amour ne serait pas venu
Si l'on ne s'etait pas connu.
Quand le flot mechant fait craindre le danger,
Le marin riant du vent,
Seul chante a l'avant
Son c?ur le lui dit, il ne peut naufrager
Il chante les jours defunts
Malgre les embruns.
{au Refrain}
Mais celle pour qui le marin chante ainsi
A bien d'autres matelots
Voguant sur les flots.
Qu'importe ! Chacun se croit seul et, ravi,
Trouvant l'exil bien moins long,
Chante au moussaillon
{au Refrain}
Andrex